Nous pouvons nous féliciter qu’un accord soit possible entre l’Union Populaire, les écologistes, les communistes, les génération’s et je l’espère bientôt les socialistes autour d’un programme qui vise à faire la vie douce aux habitantes et habitants de nos communes populaires et à vivre en harmonie entre eux et avec la nature et les animaux.

Dans le Rhône le résultat des discussions nationales entre nos forces politiques donne sur 14 circonscriptions 6 circonscriptions à l’union populaire, 4 aux écologistes, 2 aux communistes et 2 aux socialistes. Preuve que l’union populaire n’est pas hégémonique puisque le score de Jean-Luc Mélenchon la mettait en situation d’en réclamer plus.

Quand on est la grande force et que l’on souhaite que chacune et chacun face campagne avec ferveur on se doit d’être généreux et parfois même unitaire pour 2.

Enfin dans la longue tradition du mouvement ouvrier et de nos communes populaires on ne choisit pas les candidats de nos partenaires. C’est un principe. On ne fait pas aux autres ce qu’on ne veut pas qu’on nous fasse en retour ou lors d’une autre élection.

À Villeurbanne comme à Venissieux j’espère qu’avec bienveillance nous pourrons continuer à coopérer sereinement. Nous y sommes favorables et nous n’entendons pas participer à une quelconque escalade verbale.

À Villeurbanne, pour des raisons familiales et par attachement du fait de mes engagements de vie, à l’histoire longue du mouvement ouvrier, à l’éducation populaire, au scoutisme français et à la coopération je formule le vœux qu’on puisse s’entendre et militer dans la durée. Je suis disponible pour travailler avec tous ceux et toutes celles qui se reconnaissent dans le programme et la stratégie de la nouvelle union populaire écologique et sociale pour faire élire dans notre ville et en France une majorité de députés et députées pour gouverner le pays avec le peuple et pour le peuple.

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